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genèse de la cosmic clock
Sur la base de ses créations réalisées dans des contextes internationaux aussi diversifiés que les musées, les festivals de musique, les organisations internationales et des événementiels, le compositeur suisse, Dominique Barthassat, a imaginé d'amplifier, à des échelles monumentales, ses Architectures Sonores en y associant la lumière et l'image.
Dès lors, il élabore un concept d’emballage sonore et visuel de bâtiment ou de site, qui soit à la fois flexible, monumental et subtil, en amenant une dimension poétique et imaginative plus contemporaine au Son et Lumière classique.
Après cinq années de recherche, la Cosmic Clock est conçue et mise au point en synergie avec les champs de compétences de l'architecture et des nouvelles technologies.
En quoi la Cosmic Clock est-elle innovante ?
La Cosmic Clock innove dans la manière de configurer le pilotage technologique son-lumière-image de son ingénierie. Sa flexibilité et sa mobilité permettent d'associer, parallèlement à son programme artistique, des domaines autrefois cloisonnés (environnement, tourisme, actions humanitaires sur le terrain).
Cette sphère sonore et musicale, constituée de plusieurs anneaux acoustiques, peut envelopper un site ou un bâtiment en immergeant totalement l'auditeur dans une écoute à 360°, comparable à l'effet IMAX® pour l'image. Un programme lumière-image additionnel configuré selon les contextes en constitue l'habillage visuel.
L'ingénierie sonore de la Cosmic Clock peut s'adapter à une grande diversité de bâtiments et de sites du patrimoine mondial tant historique que contemporain et se déployer à différentes échelles; ceci grâce à une configuration technologique spécifique et à la diffusion de partitions composées pour chaque contexte.
Conçue comme un "espace ouvert" par son auteur, la Cosmic Clock peut accueillir différents programmes, différents usages, différentes expressions artistiques. Elle suscite des collaborations avec d'autres artistes et créateurs.